Elfe mystique

Sortir dans l’astral n’est pas important comme objectif primordial d’un chercheur sincère et honnête, qui cherche à se réaliser dans la vie divine et ses origines.

Rechercher des pouvoirs et s’éblouir dans la toile d’araignée de la troisième dimension de l’ego-mental, c’est perdre de l’énergie et du temps. Cette inquiétude l’ont certains, inconscients, sans la capacité et la maîtrise qui s’obtient par la pratique de la méditation, de la contemplation, de la réflexion, et du discernement.

La première chose que l’on devrait essayer, est observer sa réalité Une, au-delà de la conscience humaine sans temps ni espace, laissant l’ego mental, la personnalité, être absorbé, afin d’être acteur et spectateur de tout le panorama de l’émanation des formes, mondes et sous-mondes de la troisième dimension, dans un univers fini qui se renouvelle et se transforme, dans laquelle chaque entité, individualité divine, substance éternelle du tout, Absolu participe omniconsciente dans le mental fini des incarnés dans le processus d’évolution, créant pour eux les mondes holographiques, illusoires, comme une manière de les attirer, les préoccuper pour chercher le vrai chemin à la vie divine.

Et comme le dit le dicton : “Cherche le règne de Dieu, et le reste te sera donné par-dessus”. C’est-à-dire que cela de sortir à l’astral, est un caramel qui maintient durant des millions d’années dans cette préoccupation les incarnés, et qui n’est pas important, car autrement ce serait prendre l’effet pour la cause, ou essence Absolue, ou Dieu, comme on veut l’appeler.

Après, comme maître réalisé on peut librement se manifester dans les différents règnes de la nature tridimensionnelle sans corps astral, mais comme étincelle divine (l’antimatière) de la quatrième dimension, qui est l’enveloppe qui permet de réaliser des transformations et changements dans la matière-énergie des éléments qui évoluent dans l’ego mental, la personnalité, dans les espèces, la dualité, dans tous les mondes, systèmes solaires, galaxies, et univers finis et illusoires que l’homme-esprit observe comme matière dans la dimension qui lui incombe exister comme incarné.

Hno Rodolfo Rios Medina