Elfe mystique

Elfe mystique

De quelle matrice venons-nous?

De quelle matrice, ou mystérieuse usine spirituelle venons-nous à l’existence, aux commencements, d’une manière astrale, éthérée, jusqu’à une existence planétaire pour prendre enveloppe, à ses débuts, physique, psychologique, intellectuel, élémentaire, primaire depuis la nuit des temps.

 

Dans la saynète d’un jeu d’échec existentiel, dans laquelle, il y a celui qui déplace les pions, les chevaux, les tours, les reines, rois, le fou, auquel subordonnés nous acceptons dans l’obscurité d’une évolution primaire, et au fur et à mesure que la conscience s’extériorise pour la survie, et le développement au cours de millions d’existences planétaires, l’ego primaire, intellectuel se transforme en ego mental conscience, et faire le saut quantique, l’échec et mat à son existence planétaire illusoire.

 

Toujours dans l’obscurité matérielle, duelle, tridimensionnelle, existentielle, nous nous demandons, comme le dramaturge anglais Shakespeare, par sa citation dans quelques-unes de ses œuvres classiques… « être ou ne pas être », là est la question.

 

A travers des millions d’années, nous avons créé, comme une table de salvation, des dieux, des mythes, des légendes, des croyances, superstitions, des dieux qu’ils ont apaisés avec des sacrifices, des rituels, créant des idoles à l’image et la ressemblance des élucubrations mentales de ces époques, à travers le fanatisme et la mystification.

 

L’ignorance qui traîne depuis des millénaires jusqu’à ce XXIe siècle, avec quelques aperçu de lucidité spirituelle, dû à la peur de l’inconnu, du « démon, l’enfer », recherchant un « paradis » qui existe seulement en notre intérieur.

 

Nous nous subordonnons comme des marionnettes au pouvoir des hommes qui se déifient, ou représentent une coure céleste qui n’existe pas. Justifiant avec les croyances le pardon des mal nommés péchés.

 

Une grande entreprise commerciale, de marketing, pour attirer les prosélytes qui s’enrôlent comme défenseurs d’une foi illusoire qui existe seulement à travers la représentation des grands avatars spirituels de l’humanité, comme Jésus le Christ, Bouddha, Krishna, et d’autres inconnus, ou répétés dans l’histoire de l’humanité croyante. Faisant grossir les arches de ces représentants de dieux sur la terre.

 

Certains avatars parlent du démon, de l’enfer, mettant de côté leurs sages enseignements et dons, on peut observer qu’ils s’abreuvèrent de, et répètent les croyances et enseignements d’autres maîtres d’autres cultures païennes qui les précédèrent dans le processus d’évolution matérielle et spirituelle. 

 

Dès le moment où ils croient au mal nommé démon, à l’enfer, à la cour céleste, et à un dieu émotionnel avec des défauts, ils sont perdus dans l’obscurité, dans l’ignorance crasse et séculaire de croire pour croire, sans méditer, réfléchir, observer, contempler, et discerner la vérité de l’apocryphe.

 

Note: une autre dragée difficile à passer

 

Hno. Rodolfo Rios Medina



03/11/2023
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