Elfe mystique

L'ego mental conscience, la personnalité, masque de l'Âme, avec des émotions et sentiments, programmé pour évoluer lors de la première incarnation de l'âme dans la dualité. Ces Âmes comme image et reflet de la divinité, sont unies à d'autres Âmes dans la liberté et l'expansion, et n'ont pas l'ego mental conscience (âme), la personnalité.

Âmes subordonnées à l'esprit, l'étincelle divine, le maître intérieur qui fait s'accomplir les lois d'action et de réaction dans le karma compliqué et mystérieux.

L'Âme n'a pas de problèmes existentiels, de souffrances, douleur, car c'est une émanation, une particule divine qui accomplit un rôle dans la pensée existence de l'ego mental conscience dans la 3e dimension, et seule l'âme est multidimensionnelle dans les manifestations de la divinité, de l'esprit.

Au fur et à mesure que la personnalité-ego évolue, elle se rapproche de l'Âme, comme l'Âme de l'esprit, l'étincelle divine, le maître intérieur, pour se transporter au final des cycles de réincarnations à l'unité absolue et éternelle de celui qu'on appelle Dieu.

L'Âme est la même, une, de celle des grands avatars lumière de l'humanité connus, et inconnus oubliés dans les sables du temps, avec la différence dans l'évolution de l'ego conscience, qui est plus transparent, radieux, de compassion, aimant, généreux, empli de connaissance et sagesse transcendantale, en comparaison avec les egos grossiers de basse vibration et accélération de leurs particules subatomique et autres éléments qui les composent dans le processus primaire d'évolution matérielle et spirituelle.

Cette subordination manifestée pour évoluer, bien que beaucoup stagnent dans les extrêmes, est seulement pour l'ego mental conscience (âme), la personnalité, qui est impérieusement importante et qui existe dans la saynète de la vie, dans la dualité, par un plan mystérieux de la divinité, où l'esprit, l'étincelle divine, le maître intérieur, est la conscience qui lui fait observer les polarités, respectant le libre arbitre, pour trouver l'objectif et les buts pour évoluer selon ses mérites. 

A côté d'un karma avec ses lois indérogeables qui justifient l'avancée, l'évolution, la souffrance, la bonaventure, la paix, l'amour, et puis l'enfer et les démons créés par l'inculcation de croyances archaïques, antagoniques et obsolètes, comme un frein, et, en observant une fausse salvation qui peut être découverte après la mal nommée mort, on se surprend d'une réalité différente que l'on ne nous a pas inculquée depuis que nous avons l'usage de raison par nos pères, les croyances, l'éducation et l'entourage.

Hno. Rodolfo Rios Medina

En cette soirée d'automne, les arbres se teignent de multiples couleurs, annonçant la venue de l’hiver. Les feuilles « mortes » tombent, avec l’élagage des vents, et la brise matinale qui, en un rituel, les arrachent dans leurs bras, et en un doux et suave va-et-vient les déposent dans le giron de la terre mère, humide, fertile et parfumé d’humus, de roses et de rosée.

En cette soirée d'automne, comme les feuilles, tombent mes souvenirs, tremblants, impavides et craintifs dans un abîme de nostalgie et de rêves, et dans les bras du passé et du présent, qui s’entrelacent, se déposent doucement dans le sein des fées de l’oubli, vêtues d’espace et de temps, parfumées de lumière et d’éther enivrants.

En cette soirée d'automne, dans un automne spirituel éthéré, j’observe la nature, qui en nous revêtant d’existence et d’oubli, nous laissent orphelins du père que nous recherchons depuis la nuit des temps.

Lorsque la pensée s’éveille du songe sempiternel au milieu du rien, pensée qui longe les murs caverneux et obscurs du mental, va tissant la toile de l’arcane, naissant, inquiet, instinctif, cognitif, qui, en sortant de l’obscurité et de la lumière, se convertit en ego, personne, mental en une réalité illusoire et transitoire de la dualité, du temps et l’espace, à la vie.

En cette soirée d'automne, moi l’ego-mental, dans mes rêves et inquiétudes, ai la nostalgie, et recherche le chemin, le sentier vers mes origines, de ce qui n’a pas de forme ni nom, que la plupart de l’humanité appelle Dieu, de ce qui est et n’est pas, à l’intérieur et à l’extérieur de nous, au-delà du présent, du temps et de l’espace, de la dualité.

Cela nous enchante, nous enivre, lorsque nous avons par une fois essayé une goutte du nectar, en un ravissement, en une escapade vers le monde des rêves, en une illumination fugace, scintillante, au-delà de l’amour, des sentiments, à travers la méditation, contemplation, observation, réflexion, et discernement.

En cette soirée d'automne, l’amour de l’espace, temps, de la dualité, énergie qui sature toutes les interstices de chaque cellule, de chaque organe, de chaque membre, de la psyché, du mental, me montre le chemin, vers le seuil d’être et ne pas être, au-delà de la pensée, de l’existence, des formes, de la vie.

Amour, énergie mystérieuse, qui contrôle le rythme, l’équilibre, la compassion, et la transformation de l’humanité pour le bien ou le mal, dans l’évolution depuis la nuit des temps.

En cette soirée d'automne...

Hno Rodolfo Ríos Medina

   
    "Lorsque l'on ose affronter l'inconnu, et que l'on se place au milieu des polarités existentielles, la peur à l'inconnu disparaît et affleure l'esprit de la vérité qui ne se contredit pas, vérité qui nous donne la liberté de penser, observer, contempler, réfléchir et discerner par nous-même, selon les diktats de notre conscience, et non des intérêts créés et déformés des autres." 

Hno. Rodolfo Ríos Medina, maître de transcendance

Sa vie et mission de service désintéressé :

Méditation, enseignements spirituels et mystiques et, créateur de la 
thérapie intégrale pour autoréalisation spirituelle à Huachipa, Lima, Pérou

Hermano Rodolfo | Facebook 

 
Description par lui-même, de sa vie, et de son service spirituel :

Je suis né dans un village pauvre et misérable, El Tamarindo, au nord du Pérou. Observant la pauvreté, la misère du peuple, et l'exploitation, le confort, la richesse, et l'indifférence des latifundistes, enfant, j'étais inquiet de la situation dans laquelle vivaient la plupart des habitants de ces terres perdues du nord du Pérou.

Parfois, pour m'éloigner de la réalité de ce monde, je m'isolais loin de mon petit village dans les dunes de sable du désert. Là, je me réfugiais dans les labyrinthes du mental, perdu dans une obscurité immense que je ne comprenais pas, et qui en même temps m'apportait un sentiment de sécurité, de paix et d'harmonie, comme une mère me tenant dans ses bras, et avec le temps, cette obscurité s'est transformée en lumière.

Je ressentais une spirale dorée qui me transportait en d'autres lieux loin de ce monde, avec des personnes différentes et des objets inconnus, accueilli par une famille que j'aimais vraiment, différente de celle que j'avais dans mon petit village.

Un jour, dans les dunes, ayant creusé un trou, je me recouvris de sable jusqu'au cou, écoutai une hélice de papyrus incrustée dans l’épine d’une branche de caroubier, et grâce au vrombissement de l’hélice qui tournoyait avec le vent, je m’assoupis et fus transporté dans un autre monde.

Je ne sentis jamais l’énergie monter par ma colonne vertébrale, ma conscience commençait depuis le plexus solaire, où s’activait la spirale dorée d’évolution spirituelle, et graduellement, je, ego-mental-conscience, ascendais au centre de deux filaments d’énergie négative et positive, qui en s’unissant produisit une explosion, comme un coup de tonnerre, et en un instant, je me retrouvai dans un incommensurable désert de lumière, d’énergie dorée, voyant mon corps astral virevolter comme une swastika, véhicule, qui me permis ce vécu, expérience, dans d’autres dimensions, et aussi dans d'autres mondes avec des gens différents, et des structures et technologies plus sophistiquées que la planète où il me fallait être incarné. 

Dès l'âge de mes sept ans et jusqu’à présent, je vécus de nombreuses d’expériences spirituelles, difficile à imaginer par le commun de l’humanité.

C’est vers l'âge de vingt-deux ans que je commençai à aider les gens qui venaient me voir et souffrant de maladies et d'autres conditions, mentale, psychologique, comme le vide existentiel, et je les aidais à guérir et évoluer spirituellement, de manière désintéressée, sans rien demander en retour. Je les invitais à méditer de façon naturelle, disciplinée, comme je l'enseignais, et je créai le programme de thérapie intégrale pour autoréalisation spirituelle. 

Ensuite, je fondai l’Association Culturelle d’Autoréalisation Spirituelle Inuani en 1979, une association non lucrative au sein de l'ashram à Lima, et les gens venaient pour les méditations dans le temple (qui a structure pyramidale).

Actuellement, je continue d'aider ceux qui suivent la voie de la foi et de la confiance en Dieu, et qui nous unis peu à peu à la voie de la Spirale dorée d'évolution spirituelle. 

Tout au long de mon activité, réalisé depuis plus de cinquante ans comme un service entièrement désintéressé, je m'occupais de milliers de cas, dans l'aspect physique, psychologique, mental et spirituel, de personnes venues à l'association à la recherche d'évolution et de guérison spirituelle par la discipline de la méditation. 

La guérison est un pont pour l'évolution spirituelle, et de nombreuses personnes furent réalisées dans leur préoccupation d'atteindre un niveau de conscience plus élevé. À l'époque, environ six cent personnes qui venaient me voir chaque semaine.
 

Des milliers de personnes furent guéries de leur maladies, aussi chroniques dîtes incurables, par les préparations personnelles pour l'élévation de fréquence et de la conscience, et en venant régulièrement assister aux méditations. Je considère, et j'ai observé, que le vécu spirituel durant la thérapie pour autoréalisation et la méditation peut être un pont vers un changement transcendantal, et les personnes changent leurs valeurs pour d'autres plus élevées, se rendent compte qu'ils doivent se libérer de leurs croyances obsolètes, et ils ont un meilleur comportement, et leurs habitudes changent de négatives en positives, obtenant graduellement l'harmonie, la paix, la tolérance le contrôle des sentiments et des émotions, le développement intérieur et l'évolution. 

 Dans les années 1980, je fus invité en Espagne plusieurs fois, pour guider un groupe de méditation d'environ trois cent personnes qui pratiquaient différentes disciplines spirituelle. 

Puis en 1990, je voyageai en France, invité par la famille Burnat, descendante de Napoléon III, et à la demande des parents je réalisai un service spirituel. Le père de l'enfant, Daniel Burnat, était directeur de l’Association Genevoise des Etablissements pour les Candidats à l’Asile (AGECAS). Dans cette famille, un enfant était paralysé des jambes et je l'ai aidé à guérir, par le pouvoir de Dieu et par ma croyance que je suis un canal de cette énergie divine de guérison spirituelle que je transmets. 

Après plusieurs méditations en présence de ses parents, l'enfant allait mieux, et un jour il put se mettre debout. Il put marcher normalement au bout de trois mois de mon séjour chez eux, là où je guidais aussi un groupe de méditation. 

Les parents de l'enfants me demandèrent de rester plus de temps chez eux, jusqu'à la guérison totale de leur fils, dans le château de Gaillard, la résidence des Burnat. Jusqu'à ce que Claire Burnat, la tante du père de l'enfant, m'invita à connaître et à vivre à Genève.

Je vécus de nombreuses années à Genève, d'abord invité pour former un petit groupe de méditation, puis pour y vivre avec Viviane, et chez nous, je continuais à guider des petits groupes de méditation et à transmettre mes enseignements spirituels, mystiques, menant une vie de famille normale et écrivant de nombreux articles et l'un de mes livres. 

Je fus aussi invité par un groupe de donner une conférence à l'Université de Genève sur le vécu et les expériences mystiques relatées dans mon autobiographie Au delà de l'obscurité. L'interprète était la fille du directeur de Nestlé de l'époque. 

Je me rendais de temps en temps pour quelques mois à Huachipa, faire un service pour la communauté, à l'ashram. Après vingt-cinq ans d'absence, je retournai pour un séjour prolongé au Pérou, dans le but de continuer le service désintéressé pour aider le prochain avec Viviane, accompagnés de notre fils Steven.

J'eus un peu de peine à quitter l'ashram où venaient encore environ six cent personne qui avaient foi et confiance en ma mission. En mon absence, graduellement, chacun.e prit son propre chemin vers d'autres voies ou disciplines.

Ce fut toujours mon envie de continuer ma mission, et de former des ponts spirituels pour éveiller le désir d'autoréalisation et de guérison spirituelle pour chacun qui le désire, par la méditation naturelle sans aucune méthode, ni rituel, mantras, système, technique, de méditation ou de respiration. 

Je vécus des expériences spirituelles, mystiques depuis mon enfance, dès l’âge de sept ans, mais ces expériences n'arrivèrent pas par la pratique de la méditation telle que la plupart des gens l'entendent, puisque que pour moi, dans le petit village d'El Tamarindo où je grandis, personne ne connaissait ni ne pratiquait ce que les gens comprennent habituellement par méditation. 

Si quelqu'un m’avait parlé de méditation, je ne l'aurait pas compris comme tel, mais comme une manière naturelle, une faculté naturelle d'observer mon univers intérieur, sans paramètres ou schémas, croyances, mythes, prototypes ou dieux.  

Je crois fermement en une puissance absolue et éternelle, parfaite dans ses perfections, omnisciente, toute-puissante, Dieu, ou quel que soit le nom que l'on veut lui donner, et je crois que j'émane de lui d’une façon mystérieuse. 

De temps en temps, par la méditation, la réflexion, l'observation, la contemplation et le discernement, j'entr'apercevais la lumière dorée de la spirale qui me transportait dans l'inconnu, où je recevais les enseignements, la connaissance et la sagesse au-delà du temps et de l'espace, flottant et virevoltant dans un désert incommensurable, de lumières de différentes couleurs, où la vie dense de la dualité pour un instant n'existait pas, et empli de paix et d'une félicité indescriptible comme ego-mental-conscience, l'entité, la personnalité éthérique. 

Puis, je revins à mon enveloppe charnelle que j'avais laissé durant cette expérience transcendantale, à nouveau à la vie de ce plan de la divinité, à la dualité, à la troisième dimensionnalité, à la pensée-existence.  

Hno. Rodolfo Ríos Medina 

L'univers mental micro et macro cosmique est constitué du lot mystérieux et complexe d'élémentaux, tels que l'amour, le plaisir, la colère, le désir, la peur et tant d'autres, etc. dans l'existence humaine.

Des élémentaires que nous ne pouvons pas imaginer, qui dorment dans la boîte de pandore du subconscient.

Élémentaux que nous contrôlons lorsque nous atteignons un état de conscience supérieur par la méditation, la réflexion, l'observation, la contemplation et le discernement.

Mais n'étant pas éveillés dans cette dimension, nous sommes subordonnés, contrôlés, inconsciemment à ces puissances, ressentant ou non une satisfaction dans notre performance plus matérielle que spirituelle, ou une charge de conscience que nous ne pouvons expliquer, que nous ne pouvons déchiffrer, produit un sentiment de douleur et de souffrance.

Il y a aussi les éléments et les élémentaux de l'air, de la terre, du feu et de l'eau et d'autres, dans une cinquième dimension, comme les élémentaux du magnétisme, de la gravité, de l'attraction, des forces centripètes et centripètes.

L'élémentaire qui contrôle et régule la durée, l'espace-temps, l'illusion :

L'antimatière sombre et lumineuse.

Les élémentaires des lois d'action et de réaction des dimensions parallèles éthériques, des pouvoirs plus spirituels que matériels, interagissent dans la matière-énergie pour maintenir l'équilibre micro et macro cosmique de la dualité, de la troisième dimensionnalité, tous projetés depuis le noyau de la micro et macro cosmique matrice de l'âme éthérique.

Tout ce mystère, complexe et difficile à imaginer, peut être révélé comme une grande connaissance de l'émanation et de la non-création par la pensée et la conscience absolue et éternelle, omnisciente, omniconsciente, omnipotente, parfaite dans ses perfections, celle qui n'a ni forme ni nom appelée Dieu par le collectif de l'humanité terrestre et "extraterrestre".

Hno Rodolfo Ríos Medina

C'est très intéressant cela de rendre conscient l'inconscient, une réalité duelle de laquelle nous sommes prisonniers d'être et ne pas être, une réalité par là où nous avons accumulé, durant des millions d'années planétaires depuis la première incarnation et les réincarnations qui s'ensuivirent, des vertus, défauts, croyances antagoniques, obsolètes et archaïques, des fétiches, idolatries, superstitions, rituels, sabbaths, et grimoires.

Même dans ce qui est appelé l'inconscient, créé par les philosophies, les psychologies, souvent remaniées, adaptées à la mentalité de ce XXIe siècle.

Inconscient stéréotypé, intronisé dans les interceptions, dans les replis de l'ego-mental-conscience la personnalité, le masque de l'âme, dans le collectif de l'humanité terrestre qui "évolue" matériellement et spirituellement.

C'est seulement une illusion, une idéologie qui nous maintient prisonniers de la dualité, de l'espace-temps, de la tridimensionnalité, sans que nous ayons le courage de nous placer face à face avec l'esprit de la vérité qui ne se contredit pas comme acteurs et spectateurs, utilisant la conscience, l'inconscience, le mental, illusoire, sur ce plan duel de la manifestation des formes à travers la pensée-existence.

Esprit de la vérité qui nous donnera les réponses, les clefs, les codes, traduits en connaissance et sagesse divine, qui nous ouvrira les portes et nous mènera par le chemin du milieu vers la non dualité, vers la non conscience, vers la non inconscience, vers celui absolu et éternel, sans forme ni nom, à travers la méditation, la réflexion, l'observation, la contemplation, et le discernement.

Hno. Rodolfo Rios Medina