Elfe mystique

L'observation et le discernement, sur le mouvement, l'auto-transformation dans les alternatives de la conscience humaine, au carrefour mystérieux d'être et de ne pas être, dans un double cercle vicieux tridimensionnel, pour transformer les paires d'opposés à la recherche d'une bonne direction qui mène à la paix, au bien-être psychophysique dans l'illusion de la dualité, de la troisième dimensionnalité.

Une lutte constante des émotions, des sentiments, des passions naissantes, pour pouvoir entrevoir le seuil du connu vers l'inconnu au moyen d'une cognition plus matérielle avec des traces de spiritualité pour se donner une paix, un bien-être psychophysique, un placebo transitoire dans l'espace-temps, la durée d'une dimension existentielle de la vie finie et illusoire, dans un tourbillon d'événements dont on s'approche et qu'on fuit en même temps pour ne pas être absorbé par la peur d'être et de ne pas être.

Le serpent qui se mord la queue en créant un cercle, un trou noir cosmique dans lequel il ne peut ni entrer ni sortir, mais celui qui a atteint la maîtrise ose franchir la barrière de l'illusion par la transformation, la transfiguration, briser les résistances de l'ego mental dépendant de la dualité, de la troisième dimensionnalité endormie dans un rêve d'opium existentiel par la pensée.

Transformation, transfiguration au-delà de la dualité, de l'espace-temps, de la relativité, pour être ce qu'elle a toujours été : Absolue, éternelle sans forme ni nom. Où mouvement, activité, polarités, éléments, élémentaux de puissance, univers, galaxies, voies lactées, systèmes planétaires, mondes faits de matière-énergie, parallèles, semi-matériels, invisibles, fluides.

Les sciences humaines avec la forme, amorphe, subordonnée au magnétisme, le son, la vibration, la gravité, l'accélération des atomes éthérés et sous-éthérés, une symbiose d'union avec la dualité, la troisième dimension des formes avec l'attraction, l'amour, le plaisir, le désir, la cognition, la pensée comme moyen de manifestation existentielle, l'illusion.

Où la divinité est complice en tant qu'actrice et spectatrice de ses propres et multiples émanations dans les échecs existentiels de la vie, des expériences, du vécu, où elle fait échec et mat dans chaque cycle d'innombrables existences planétaires, franchissant le seuil au-delà du pouvoir de la force, de la lumière et des ténèbres. pour cesser d'être l'humanité.

Méditation, réflexion, observation, contemplation, discernement.

Hno Rodolfo Rios Medina