Elfe mystique

(non terminée)

L’absolu, l’éternel, ce qui n’a ni forme ni nom « Le Rien », n’a pas de polarités, sentiments, émotions, pensées, ni autres qualités, vertus y adjectifs avec lesquels on peut le décrire. Il (Cela) manifeste pour ainsi dire le pouvoir existentiel de la pensée pour transformer l’illusion en matière-énergie subordonnée à l’espace-temps, avant le programme préétabli depuis la première incarnation.

Depuis la première incarnation, le programme est intronisé dans la génétique de l’ego mental conscience, l’entité, la personnalité éthérique, les sentiments, les émotions, les préoccupations matérielles et spirituelles.

L’ego, véhicule de l’étincelle, la particule absolue et éternelle projette la troisième manifestation :

La conscience humaine semi matérielle ; ces attributs mettent en action le système sensoriel et, à travers la pensée relative existentielle, elle peut observer les quatre éléments de pouvoir. Non le cinquième élément qui s’observe et s’interrelationnera après des millions d’années d’évolution matérielle et spirituelle.

La conscience humaine en évolution, inclinée dans la transe de la polarité matérielle, dans la survie, la science et la technologie et d’autres préoccupations matérielles. La science et la technologie observera la matière-énergie, effet de l’illusion, et leurs préoccupations, par le réductionnisme et les preuves de laboratoire, observant les limites que les instruments leur permettent de voir.

Dans cette préoccupation véhémente elle imaginera le commencement de la création (manifestation) des multiples univers, voies lactées, galaxies, systèmes planétaires et humanités, et de cette imagination féconde, s’observera la grande explosion pour la création de ceux-ci.

Le Bing Bang, la théorie de la création, effet de l’illusion, manifestation de Ce qui n’a ni forme ni nom, absolu et éternel, omniscient, omniprésent, omniconscient, parfait dans ses perfections, « Le Rien », appelé Dieu ou par un autre nom par le plupart du collectif de l’humanité terrestre depuis la nuit des temps.

Hno Rodolfo Rios Medina